La révolution fiscale de Joe Biden
De la taxe numérique à l’imposition des multinationales : la révolution fiscale de Joe Biden.
L’attitude volontariste de la nouvelle administration américaine est ici décisive. Elle reflète le changement d’époque auquel nous assistons aujourd’hui sur les questions du rôle de l’État et de lutte contre les inégalités.
L’opposition idéologique classique aux États-Unis sur la question des impôts se double d’une seconde ligne de fracture entre la puissance publique et les entreprises privées. Les responsables s’appuient sur une expertise souvent politisée produite par les think tanks, les universitaires et autres experts des questions fiscales et numériques.
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Le déclin de la recherche française
Pourquoi la recherche française perd du terrain sur la scène internationale ?
Si le niveau de financement public et privé de la recherche française est faible, il n’est pas la seule explication du recul de la France sur la scène scientifique internationale.
En France, selon les chiffres du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (MESRI), les entreprises consacrent 28,3 milliards d’euros au financement de l’activité de recherche et développement (R&D), ce qui correspond à 56 % de la dépense intérieure de recherche et développement expérimental (DIRD) en 2017. Cette part est nettement inférieure à celle que l’on peut relever au Japon (78,3 %), en Corée du Sud (76,2 %), en Allemagne (66,2 %) ou encore aux États-Unis (63,6 %).
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Economie chinoise, le renouveau
La Chine a rapidement maîtrisé l’épidémie de Covid-19 qui était née sur son sol. Son économie a pu redémarrer dès le printemps 2020, soutenue par la remise en marche de son appareil productif et par une forte demande extérieure liée à la gestion de la pandémie. S’inscrivant dans une perspective plus longue, le 14ème plan quinquennal dévoilé début mars 2021 acte le manque de visibilité pesant sur la conjoncture mondiale. Mais il réitère avant tout la volonté de la Chine de transformer son modèle de croissance à travers une montée en gamme et une plus grande indépendance technologique, et de s’assurer un positionnement clé sur les thématiques internationales, en particulier, la transition énergétique.
Cet atelier sera l’occasion d’échanges autour de ces questions, après une introduction par des économistes du CEPII. Le format ne sera pas celui d’une conférence habituelle du Club, il se rapprochera plutôt d’une table ronde, à laquelle seront seulement conviés les membres du Club et des économistes du CEPII, avec l’idée que chacun puisse y participer activement.
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