Deuxième article sur notre série consacrée à la mondialisation, sujet aussi majeur de cette campagne présidentielle. Série qui a pour objectif d’approfondir les enjeux, les acteurs et les nouveaux modèles.
La mondialisation et les 3 forces au travail.
Ces trois forces à l’œuvre sont essentiellement le fruit de la digitalisation croissante de l’économie du monde.
Industrie 4.0. En plus de stimuler la productivité de 30% et de réduire les coûts de main-d’œuvre, les systèmes de fabrication numérique avancés permettent aux entreprises d’altérer leur production globale et leurs délais de livraison en rendant possible l’exploitation d’installations plus petites et plus souples plus proches des clients dans le monde, au lieu de concentrer la production dans les grandes usines dans les pays à faible coût de main-d’œuvre.
Plateformes numériques. Les entreprises traditionnelles telles que General Electric, avec sa plate-forme Predix et les nouveaux arrivants relatifs tels que Uber, Airbnb et Flipkart de l’Inde, ont accès à des marchés mondiaux sans frontières grâce à leurs plateformes de technologie de l’information et à leurs écosystèmes. Au cours de la période de 2012 à 2015, certaines entreprises digitales ont progressé à un taux supérieur à 100%, comparativement à une croissance à un chiffre de la part de sociétés multinationales établies.
Services numériques. Les avancées dans les technologies et plates-formes numériques permettent la croissance rapide des services numériques transfrontaliers tels que la réservation de voyages en ligne, les sites de divertissement et les services permettant une meilleure allocation des actifs. Les nouveaux services à valeur ajoutée deviennent un générateur clé de croissance et des revenus pour les entreprises traditionnelles.
A LIRE AUSSI DANS CETTE SERIE SUR LA MONDIALISATION :
Nouvelle mondialisation et nouveaux modèles
La mondialisation est-elle menacée ou pas ?
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Libre traduction de l’article intitulé »The New Globalization » publié sur le blog de BCG consulting