48 heures à La Baule, city guide
Au cœur de la Côte d’Amour, le long d’une plage de sable de neuf kilomètres, la sudiste Bretonne, ose les pirouettes architecturales les plus hardies, sans éroder, bien au contraire, l’attachement de ses estivants et visiteurs.
Aujourd’hui La Baule offre deux visages, celui du Remblai, promenade longeant la mer, colonisée par des rangées d’immeubles, construits lors des cinquante dernières années, Le Panorama, la Tour Saint Clair, les Vagues de Pierre Doucet, évoquant une succession de déferlantes, et celui des quartiers aux incroyables villas de tous styles et de toutes époques du Bois d’Amour. Un grand écart entre l’ancien et le moderne réservant aux curieux de très belles surprises.
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Le dernier été en ville, roman culte
« Bijou littéraire inédit en France à ce jour,» Rome, fi n des années 1960. Leo Gazzarra, milanais d’origine, est depuis quelques années installé dans la capitale. Il vit de petits boulots pour des revues et des journaux. Viscéralement inadapté, dans un monde où il ne parvient pas à trouver sa place, il se laisse aller à des journées qui se ressemblent et à des nuits souvent alcoolisées. Leo n’en veut à personne et ne revendique rien.
Le soir de ses trente ans, il rencontre Arianna, une jeune femme exubérante à la fois fragile et séductrice. Sûre de sa beauté mais incapable d’exprimer ses véritables sentiments, Arianna est évanescente. Elle apparaît et disparaît, bouleversant le quotidien mélancolique d’un homme qu’elle aurait peut-être pu sauver de sa dérive existentielle.
Dans ce premier roman, paru pour la première fois en Italie en 1973, Gianfranco Calligarich évoque les cercles intellectuels et mondains de l’époque tout en dressant le portrait d’un homme qui cherche un sens à sa vie. Une histoire d’amour et de solitude, récit d’un renoncement tranquille, qui nous plonge dans une Rome solaire, magnétique.
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Histoire du Jazz
Musique née aux États-Unis puis diffusée en Europe, le jazz a conquis ses lettres de noblesse au cours du XXe siècle. Linguiste et traducteur, professeur des universités, Jean Szlamowicz, analyse les mots du jazz, le lexique employé et les effets esthétiques que celui induit. L’oralité et la musicalité, la danse et le mouvement, l’argot et la musique classique se mêlent pour donner un courant musical des plus originale.
Émission présentée par Jean-Baptiste Noé.
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